Aujourd’hui marque l’ouverture de TED2018, la dernière édition en date de la conférence moderne mondialement connue. Les auditeurs de cette conférence qui se déroule à Vancouver vont pouvoir profiter de discours de grande qualité, présentés par des orateurs très bien préparés et en sortiront inspirés et avec un regain d’énergie.
Tandis que dans vos bureaux, vous et vos collègues vont sans doute devoir endurer des présentations de mauvaise qualité faites par des orateurs peu ou pas préparés et vous en ressortirez ennuyés et démotivés.
La peur n’enlève pas le danger. Acceptez la et améliorez vos présentations).
" La seule chose que nous ayons à craindre est la crainte elle même “. Cette citation du président Franklin D. Roosevelt lors de son discours à la Convention en 1933 en plein pendant la Grande Dépression (suite au crack boursier de 1929). Il n’en avait peut être pas conscience à l’époque, mais ces quelques mots sont un de meilleurs conseils que l’on peut donner à quelqu’un qui doit parler en public.
Je ne suis pas naïf. J’ai de sérieux doutes sur l’existence réelle du Père Noël. Aussi cette année ai-je décidé de ne pas lui écrire une lettre à laquelle il n’aurait de toutes façons pas répondu. Au lieu de cela je me suis dit qu’il était temps de rafraîchir l’image d’Ideas on Stage, qui n’avait pas changé depuis la création de la société en 2010.
Nous avons commencé par choisir une nouvelle police de caractères.
Pour la troisième année, Ideas on Stage est l’heureux partenaire de la conférence TEDx Saclay qui a eu lieu le 30 novembre 2017 dans les tous nouveaux locaux de CentraleSupélec sur le plateau de Saclay sur le thème : Au service du Vivant.
TEDx Saclay Cette année encore, le programme des intervenants est très riche avec des invités prestigieux comme Cédric Villani (mathématicien de renom et député de l’Essonne) mais aussi des artistes, des scientifiques, des étudiants, des entrepreneurs et une spécialiste de « e-sport » qui interviennent sur des sujets aussi divers que l’astrophysique (Miho Janvier), la lutte contre le cancer (André Choulika), les papillons (Maëlle Vilbert), le blockchain (Anca Petre) ou les jeux vidéos (Kayane).
L’innovation est au cœur de la compétitivité des grands groupes ; c’est pourquoi EDF (Électricité de France S.A.) UNITEP a organisé un challenge pour promouvoir et récompenser l’esprit d’innovation qui anime ses équipes.
Pour la quatrième année consécutive, Ideas on Stage a collaboré avec EDF pour coacher les Innovateurs. Nous avons aidé les groupes à présenter leurs innovations de manière originale et percutante, en trois minutes maximum.
Fidèle à notre méthode complète, nous avons travaillé sur tous les quatre éléments d’une bonne présentation : message, histoire, visuels et art oratoire, et comme chaque année les membres du comité de direction ont félicité les innovateurs et les organisateurs pour leur prestation.
Le Sport Social Business Lab, SSBL pour les intimes, est un incubateur spécialisé dans les Startups autour du sport et de l’économie solidaire. Il fait partie du réseau INCO, « le premier consortium mondial d’une nouvelle économie, inclusive et durable ».
Leurs startups n’échappent pas à la règle : la qualité de leur pitch est un facteur déterminant dans leur succès. C’est pourquoi le SSBL a demandé à Ideas on Stage d’animer un atelier pitch de trois heures.
En cette rentrée 2017, un événement a retenu notre attention. C’est à Wisteria Acres, au Canada, que Marion Chapsal et Evelyn McKelvie vont animer, pour un groupe de huit participantes, un week-end dédié à la prise de parole en public – avec, vous l’aurez compris, le cheval au centre de cette prise de rênes.
Dans son article du mois de Juin, « Slaying the Dragon of Fear », Evelyn révèle une vision proche de celle de Marion quant à sa mission de coach.
Comment se fait-il que la plupart des startups à succès soient pilotées par des hommes ? D’abord, il y a davantage d’hommes que de femmes qui décident de – ou osent – créer une société. Ensuite, les hommes réussissent plus souvent à lever des fonds que les femmes. Et les femmes qui parviennent à faire des levées se retrouvent en général avec moins de capital que les hommes. Ayant moi-même passé deux ans dans les sphères de la Silicon Valley, j’ai pu observer ces réalités aussi bien là-bas qu’ici en France.